Projet

Quèsaco

J’ai découvert il y a quelques années à quoi s’apparentait la pâtisserie haut de gamme, de renom, mais surtout de qualité. Depuis, inconcevable pour moi de me lester d’un gâteau provenant d’une « banale » boulangerie-pâtisserie : grossièreté, insipidité, sucre à foison, inélégance ou tarif en totale inéquation avec le produit proposé, m’ont rapidement poussé à m’intéresser à autre chose.

Goût du luxe ? Absolument pas. Mais l’unique envie de ne pas me faire berner, me procurer du plaisir en bouche et me fier au travail d’un vrai professionnel.

Les ouvertures de pâtisseries sont pléthores ces dernières années en France, et en particulier à Paris, dans la lignée des maîtres du genre tels Pierre Hermé, Philippe Conticini ou Ladurée. Un phénomène encore relativement discret hors de l’hexagone qui me pousse aujourd’hui, par pure gourmandise et curiosité, à tester toutes leurs créations.
Maisons de renoms ou maisons plus discrètes, toutes passeront sous le joug de mon jugement intransigeant.
Pas question de faire de la complaisance, sans pour autant tomber dans la critique gratuite. Le but étant d’être objectif et de délivrer des commentaires constructifs.

Marche à suivre

Dans un premier temps, je mettrai en ligne mes premiers billets, la majorité concernant les pâtisseries (lieux et gâteaux) des chefs que j’ai pu découvrir entre février 2016 et février 2017.
Par la suite, mes comptes rendus se concentreront une création sucrée en particulier, une nouveauté ou une inspiration. Avec ainsi plus de clarté, de précision et d’illustrations.

Un système de notation ?

Non, tel n’est pas mon but. Je juge cela trop arbitraire voire excluant. En revanche, comme je l’ai indiqué ci-avant, je partagerai mes impressions et la propre opinion.
En fin d’article, vous retrouverez ainsi une petite vignette qui retranscrira mon avis final. J’ai jugé que cinq niveaux de satisfaction ou (d‘insatisfaction) étaient suffisants :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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